Le Conseil des Ministres du 24 février a approuvé une proposition de loi qui régule l’utilisation de cellules souches d’origine humaine pour la recherche scientifique destinée à la prévention, au diagnostic, à la détection de l’origine et au traitement de maladies, en particulier celles de type dégénératif ou résultant de la destruction irréversible de tissus et d’organes.
Pour la majorité de ces pathologies, il n’existe pas de thérapies adaptées et le développement de nouvelles thérapies basées sur l’utilisation de cellules souches, pas seulement adultes mais également embryonnaires, est aujourd’hui reconnue comme une des voies les plus prometteuses.
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