Le paradoxe de la cellule qui, au fur et à mesure des divisions cellulaires éteint les mécanismes de réparation de l’ADN est résolu.

Les cellules ne réparent pas les dégâts causés à l’ADN et éteignent les processus de sa réparation au cours de la mitose, car les télomères risqueraient de fusionner.
Lire la suite sur le BE Canada 435