Préserver la fertilité des patientes devant suivre une chimiothérapie suite à un cancer est un enjeu de santé important. Actuellement, l’agoniste de la gonadolibérine (GnRHa) est le seul médicament étudié en clinique susceptible de protéger les ovaires de la gonadotoxicité de la chimiothérapie et de prévenir une future infertilité.

Son efficacité pour prévenir l’altération de la fonction ovarienne est toutefois très controversée, et remise encore une fois en doute par une étude menée à l’ULB.
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