Trois chercheurs de l’université de Séville et de l’université Pablo de Olavide de cette même ville, ont mis au point une méthode numérique basée sur des modèles arborescents, qui permet d’extraire à partir de séquençages génomiques, des réseaux de co-expressions de gènes.
Leur méthode qu’ils ont baptisée RegNet, a été testée sur deux bases de données génétiques, l’une provenant de la bactérie Escherichia coli et l’autre de la levure Saccharomyces Cerevisiae, et a donné des résultats plus précis que d’autres méthodes actuellement utilisées.
Lire la suite sur le BE Espagne 100