Des scientifiques en Suède ont découvert que la partie de l’acide désoxyribonucléique (ADN) bactérienne présentant souvent une résistance aux antibiotiques a la possibilité de se déplacer parmi différents types de bactéries et de s’adapter grandement à des espèces bactériennes distinctes.
Les résultats, présentés dans la revue Nature Communications, ont mis en lumière la façon dont les plasmides IncP-1 peuvent stimuler le potentiel de propagation génique.
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