La pollution de l’air, due aux particules fines, serait associée à un sperme de moindre qualité, suggère une étude publiée mercredi dans le journal spécialisé Occupational & Environmental Medicine.
Les effets de la pollution sur la forme des spermatozoïdes observés dans cette étude, qui a porté sur près de 6500 hommes âgés de 15 à 49 ans à Taïwan, sont faibles.
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