L’équipe de Karen Martinez du centre des Nanosciences de l’Université de Copenhague développe une nouvelle méthode qui pourrait faciliter et accélérer le diagnostic de certaines maladies, en associant des nanomatériaux à des échantillons biologiques.

Cette méthode se base sur l’utilisation de nanofils, qui sont des complexes de forme cylindrique ayant un diamètre de l’ordre de 100nm (10.000 fois plus petit que le diamètre d’un cheveu) et quelques microns de long et disposés verticalement sur des supports.
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