Une équipe de recherche menée par Miguel Soares de l’Instituto Gulbenkian de Ciência (IGC) au Portugal a découvert qu’une bactérie vivant dans l’intestin serait un mécanisme de défense naturel contre la transmission de la malaria.

Certains microbes résidants dans notre flore intestinale sont essentiels à notre santé. En effet, certaines bactéries comme Escherichia coli (E. coli) sécrètent à leur surface des molécules de glucides et de glycines qui sont détectées par le système de défense immunitaire humain.
Lire la suite sur le BE Portugal 64