Être capable d’oublier des expériences et des souvenirs semble être une compétence cérébrale plutôt qu’un dysfonctionnement. L’oubli permet à notre cerveau de s’adapter aux conditions nouvelles, de stocker des informations importantes et d’effacer les informations sans importance.

L’équipe de recherche de l’Institut européen des neurosciences de Göttingen (ENI-G) a en effet découvert comment la Protéine « synaptotagmine-3 » affaiblit les synapses afin de favoriser l’oubli des souvenirs. Ces travaux sont publiés dans la revue « SCIENCE » du 4 janvier 2019.
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