Des scientifiques travaillant sur le développement de prothèses contrôlées par la pensée pour les personnes ayant souffert de lésion de la moelle épinière ou d’une amputation seront ravis de lire qu’une étude a démontré que le cerveau humain est beaucoup plus souple et apte à apprendre que ce que l’on pensait auparavant.
Dans son article paru dans la revue Nature, une équipe de chercheurs portugais et américains explique que grâce au processus de plasticité, des régions cérébrales peuvent être entraînées à faire des actions qu’elles ne sont pas destinées à faire.
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