Les études d’association pangénomique (GWAS* en anglais) sont une méthode émergente permettant aux scientifiques d’identifier les gènes impliqués dans différentes maladies humaines. Il s’agit de rechercher dans le génome entier, les petites variations, appelées polymorphismes de nucléotides simples (SNP), qui se produisent plus fréquemment chez les personnes avec une maladie que chez les personnes saines.

Chaque étude peut examiner des millions de SNP en même temps. Les chercheurs utilisent des données de ce type d’étude pour identifier les gènes augmentant le risque d’une personne de développer une maladie donnée.

La plupart des études GWAS existantes portent principalement sur des sujets d’ascendance européenne. Pour obtenir une vue d’ensemble, des études supplémentaires dans des populations non-européennes sont nécessaires, voilà pourquoi l’étude menée par Masahiro Kanai et les autres chercheurs de l’Université d’Osaka est particulièrement intéressante.

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