Une équipe internationale de chercheurs partiellement financée par l’UE vient d’identifier les variantes génétiques qui pourraient expliquer la raison pour laquelle certaines personnes sont plus enclines que d’autres à développer des néphropathies. Deux études publiées dans la revue Nature Genetics offrent de nouveaux indices sur les causes spécifiques de la néphropathie chronique.
L’une des études était financée par le projet GENECURE («Applied genomic strategies for treatment and prevention of cardiovascular death in uraemia and end stage renal disease»), qui a reçu 2,25 millions d’euros au titre du thème «Sciences de la vie, génomique et biotechnologie pour la santé» du sixième programme-cadre.
Plus d’infos sur Cordis