La question peut sembler incongrue.
Eh bien contre toute attente, lorsque nous avons édité un post sur le sujet CMC sur LinkedIn, quelle surprise de voir la manière dont les lecteurs ont réagi. Certains ont même remercié ou salué.
Un peu comme si tout le monde avaient entendu parlé CMC sans jamais avoir osé demander ce qui se cachait en réalité sous ces mots et vraiment réalisé l’importance du sujet.

Il nous a semblé important d’aborder le sujet, quitte à mettre les pieds dans le plat pour certains, car nous constatation un grand flou artistique pour pas mal d’interlocuteurs, nous compris d’ailleurs, avant d’avoir pris la mesure de la chose 😉
Les contraintes réglementaires cela parait rébarbatif, cela fait peur et on a vite fait de faire l’autruche et de mettre tout cela sous le tapis aussi beau soit-il…
D’un côté, le grand enthousiasme de l’innovation et de l’autre, beurk 😛, patatras, l’échec en bout de course…
Alors, connaissons-nous vraiment les principes CMC ? Acronyme magique ? Incantation pour les avertis ?
Rien de tout cela ! C’est du sérieux !
Une petite définition découverte sur Internet pour nous éclairer :
« Les principes « chimie, fabrication et contrôle » (CMC en anglais ou chemistry, manufacturing, and controls) guident le développement des processus nécessaires à l’approbation des autorités réglementaires et définissent les informations nécessaires à la fabrication des produits pharmaceutiques. Toutes les étapes du cycle de vie du développement après la découverte du médicament impliquent ces principes CMC. Il s’agit donc de répondre à un niveau constant de qualité, d’efficacité et de sécurité des médicaments. »
Avec les Biothérapeutiques, comme on travaille sur du Vivant, cela se complique un peu et c’est peu de le dire.