Dans les années à venir, la thérapie génique concernera de plus en plus de maladies et de malades et nécessitera de plus en plus de vecteurs. Les vecteurs, sorte de véhicules, permettent le transfert des gènes thérapeutiques pour remplacer dans les cellules les gènes défectueux.

Cet établissement de 5 000 m2 va permettre de produire des lots de vecteurs en quantité plus importante pour des essais de thérapie génique de phase II, dont l’objectif est de s’assurer de l’absence de toxicité d’un traitement et d’en vérifier l’efficacité; mais aussi d’envisager, à terme, des essais de phase III pour évaluer le rapport bénéfice/risque du produit.

La suite sur le site de Genethon