Une chercheuse française de l’Ifremer et deux de ses collègues espagnols de l’IMEDEA, l’Instituto Mediterráneo de Estudios Avanzados, centre mixte CSIC-université des îles Baléares, ont profité de la tenue en octobre dernier à Nagoya de la convention des Nations-Unies sur la diversité biologique pour faire un point dans la prestigieuse revue Science sur la biodiversité marine et la question des brevets pris sur les gènes.

Le sous-titre résume la situation : « 10 pays à l’origine de 90% des demandes de brevets associés à des gènes marins, certains en provenance des eaux internationales ».
Lire la suite sur le BE Espagne 104