Des chercheurs et médecins du département de chirurgie orale et maxillo-faciale de l’hôpital universitaire d’Olomouc s’intéressent à la salive en tant qu’outil de diagnostic médical.

Les avancées technologiques attendues devraient permettre un développement rapide en la matière. En effet, la salive, qui contient plus d’un millier de protéines différentes, pourrait à terme se substituer à l’analyse sanguine pour le diagnostic de certaines formes de cancers, de maladies cardio-vasculaires et autres pathologies telles que l’infection par le VIH. Autre avantage important : la salive est un fluide corporel facilement accessible.
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