Depuis le séquençage du génome humain en 2001, les scientifiques s’efforcent de découvrir les gènes responsables de nos particularités. Une équipe germano-américaine vient de révéler que notre individualité ne résultait pas tant de nos gènes eux-mêmes que de la façon dont ils sont régulés (par exemple activés ou désactivés). Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Science.

Ces découvertes, qui sont le fruit de collaborateurs du Laboratoire européen de biologie moléculaire (LEBM) en Allemagne et des universités Yale et Stanford aux États-Unis, nous proposent une nouvelle manière d’appréhender notre être qui pourrait permettre de lutter contre les maladies humaines.
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