Une équipe de chercheurs de l’Université La Sapienza de Rome, en
collaboration avec le Laboratoire de biologie Moléculaire Européen
(EMBL) de Monterotondo, a présenté lors du 69ème Congrès de la
Société Italienne de Cardiologie à Rome une nouvelle technique de
réparation d’un coeur ayant subi un infarctus.
Les scientifiques ont mis en évidence que les cellules-souche
présentes dans le coeur après une lésion due à un infarctus ou un
traumatisme ne remplissent plus correctement leur rôle : au lieu de
produire un tissu contractile fonctionnel qui permettrait de
« réparer » la lésion, elles s’arrêtent de fonctionner, voire même
produisent un tissu fibreux non-fonctionnel…
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