Les chercheurs de l’Institut de technologies biomédicales du Conseil national des recherches de Milan et de l’Institut Pasteur de Paris ont démontré, en collaboration avec l’Albert Einstein College of Medicine de New York et le centre de statistique et sciences biomédicales de l’hôpital San Raffaele de Milan, que les nucléoporines jouent un rôle important dans les mécanismes qui permettent au virus de s’intégrer dans le génome humain.
Cette découverte pourrait conduire au développement de médicaments capables de prévenir l’infection. La recherche est publiée dans Nature Communications.
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