Dans le cadre du programme européen NANOMMUNE coordonné par l’Institut Karolinska, qui rassemble 13 groupes de scientifiques, et en collaboration avec des chercheurs américains, des chercheurs suédois viennent de montrer pour la première fois, que les nanotubes de carbone peuvent être dégradés biologiquement.

Une enzyme, myeloperoxidas (MPO), est en effet capable de s’attaquer à ces nanotubes. Elle est produite dans un certain type de globules blancs, appelés neutrophiles, dont la fonction principale est de neutraliser les bactéries dangereuses.
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