Des chercheurs de l’Université de Bielefeld et de l’Institut Max
Planck d’amélioration des plantes (MPIZ) de Cologne ont étudié la
transmission de bagage génétique entre une bactérie (Agrobacterium)
et une plante et découvert que certains gènes sont transmis sans
passer par l’ADN de transfert (ADN-T), classiquement utilisé par la
bactérie.Les chercheurs se sont penchés sur le cas de
l’agrobacterium [1], un petit parasite capable d’intégrer un
fragment d’ADN dans le génome de la plante. Ainsi, ces bactéries
peuvent faire produire à la plante des éléments permettant aux
bactéries de prospérer. Ce type de transfert est également utilisé
par les scientifiques, afin de désactiver certains gènes chez les
plantes et d’étudier la fonction des gènes rendus muets…
La suite sur le BE Allemagne 401