En Suède, des chercheurs financés par l’UE ont montré que le
raccourcissement des télomères avec l’âge varie selon les individus
et dépend de la longueur initiale de ces structures protectrices,
placées aux extrémités des chromosomes. Des recherches antérieures
portant sur les populations avaient suggéré d’utiliser les
télomères pour estimer la durée de vie restante, mais cette
nouvelle étude montre que le processus est bien plus compliqué
qu’on ne le pensait.
L’étude a été publiée dans la revue PLoS Genetics, et est
partiellement soutenue par le projet TELOMARKER («Identification
and characterisation of novel human telomere-related biomarkers
that aid cancer management by improving patient diagnosis,
treatment selection, response monitoring, and drug development»),
financé à hauteur de 2,8 millions d’euros dans le cadre du domaine
thématique «Santé» du septième programme-cadre (7e PC) de
l’UE…
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