Un projet de grande ampleur conduit par le Laboratoire européen de biologie moléculaire (EMBL), à Heidelberg, a abouti sur l’identification de 600 gènes impliqués dans les mécanismes de division cellulaire.

L’équipe de Jan Ellenberg [1] a pour cela désactivé l’un après l’autre chacun des 21.000 gènes humains dans des cultures cellulaires, en utilisant la méthode des ARN interférents [2]. Ces travaux font l’objet d’une publication dans la revue Nature du 1er avril 2010.
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