Selon une étude récente, publiée dans la revue Science, les hommes du Paléolithique supérieur auraient développé des réseaux d’accouplement susceptibles d’éviter la consanguinité.
Co-dirigés par l’Université de Cambridge et l’Université de Copenhague, ces travaux s’appuient sur le génome de quatre individus du Paléolithique supérieur découverts sur un site archéologique daté de 34 milliers d’années.
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