Des chercheurs de l’Université de Bonn, en coopération avec des
collègues de Munich et de Berlin, se sont servis avec succès
d’aimants puissants afin de diriger des cellules réparatrices
préalablement traitées. Ces résultats peuvent ouvrir de nouvelles
perspectives dans différents domaines de la médecine.
En thérapie cellulaire ou génétique, les chercheurs tentent de
modifier génétiquement de simples cellules du corps humain à des
fins thérapeutiques. Ces cellules peuvent alors produire des
substances actives capables de faire reculer une tumeur, par
exemple. « Il faudrait agir de manière très ciblée afin d’éviter des
effets secondaires », explique le professeur Pfeifer du Centre
pharmaceutique de l’Université de Bonn…
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