Des chercheurs financés par l’UE ont découvert qu’une catégorie de médicaments utilisés en chimiothérapie conçus à l’origine pour inhiber les principales voies de signalisation des cellules cancéreuses tue le parasite responsable du paludisme.

Ils espèrent que cette découverte conduira rapidement à de nouvelles stratégies pour combattre cette maladie mortelle, qui touche près de 250 millions de personnes et entraîne le décès d’entre un et trois millions de personnes dans le monde entier chaque année.
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