A l’aide d’une partie minuscule de l’intestin, prélevée au travers d’une biopsie, les chercheurs sont capables de créer des milliers de mini-intestins en laboratoire. Ces tissus, appelés dès lors « organoïdes » servent ensuite de cobayes pour tester la réponse d’un malade face à un médicament.

Ce test permet de savoir au préalable si le traitement sera efficace, et évite ainsi que le malade soit exposé à une thérapie qui, pouvant être très chère, peut également ne pas avoir de résultat.
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