Des chercheurs de l’Université de la Ruhr-Bochum (RUB), en
coopération avec des collègues de Francfort et de Marbourg, ont
développé une méthode permettant d’étudier plus facilement les lois
en vigueur lorsqu’une protéine rentre en contact avec un corps
étranger et crée ainsi un biofilm. Pour ce faire, les chercheurs se
servent d’une sorte de peau moléculaire qui se développe sur une
surface et qui est dotée de « cheveux » de peptides (courtes
protéines). Le choix du peptide permettrait de déterminer si la
protéine pourra se fixer ou non sur cette peau moléculaire.
L’utilisation d’un certain peptide permettrait même de créer une
surface vierge de toute protéine, ce qui peut être souhaitable dans
le cas des lentilles de contact par exemple…
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