Une nouvelle étude menée par un chercheur de l’Université de Colombie-Britannique montre que certaines personnes sont génétiquement prédisposées à voir le monde en noir.

L’étude, publiée dans la revue Psychological Science, montre qu’une variante d’un gène déjà connu peut amener les individus à percevoir des événements émotionnels, surtout ceux négatifs, de façon encore plus vive que d’autres.
Lire la suite sur le BE Canada 427