Une nouvelle étude menée sur des rats par des chercheurs de l’Institut de Recherches Biomédicales August Pi i Sunyer (de son sigle en espagnol IDIBAPS) révèle que la connectomique basée sur la résonnance magnétique est apte à détecter les déficiences de connectivité cérébrale avant même que les premiers symptômes de la maladie d’Alzheimer n’apparaissent.

Les résultats, publiés dans la revue Alzheimer’s Research & Therapy ont démontré que les animaux malades présentent un retard dans leur capacité d’apprentissage.
Les cobayes – ici des rats âgés de 5 mois, qui développent la maladie ont été utilisés avant qu’une quelconque neuro-dégénérescence ne se soit encore manifestée, pour élaborer une méthode qui permette son dépistage précoce.

La connectivité cérébrale a été analysée afin d’obtenir la cartographie de la connectivité du cerveau. Elle a ensuite été comparée aux capacités fonctionnelles des rats, qui ont été étudiées au travers d’un test comportemental.

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