Alors que le paludisme, aussi appelé malaria, tue environ 1 million de personnes par an, l’équipe du professeur Julia Kubanek de l’école de chimie et biochimie au Georgia Institute of Technology, à Atlanta, a récemment découvert le mode d’action d’une algue rouge ayant des propriétés antipaludiques.

L’algue tropicale, récoltée aux îles Fidji, nommée Callophycus serratus a particulièrement attiré leur attention car elle était l’une des seules qui ne présentait pas à sa surface de contamination microbienne parmi les 800 espèces récoltées.
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