Des chercheurs japonais de l’école de médecine de l’université de Kurume, en collaboration avec leurs collègues chinois et suédois, viennent de mettre à jour l’utilisation de lipides par les cellules cancéreuses comme source d’énergie alternative lorsque le sang ne permet plus de subvenir à leurs besoins.

Le sang, en transportant des nutriments, du glucose et l’oxygène, constitue une source d’énergie de premier choix pour les cellules cancéreuses qui souhaitent gagner du terrain et envahir l’organisme.
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