D’après une nouvelle étude financée par l’UE, les parasites responsables de maladies telles que la filariose lymphatique (ou elephantiasis) et l’onchocercose (ou cécité des rivières) se développent et se reproduisent plus rapidement et en plus grand nombre lorsqu’ils sont en contact avec un système immunitaire hôte en bonne santé.

Dans leur article paru dans la revue PLoS Biology, des scientifiques de France, du Royaume-Uni et des États-Unis expliquent que leurs résultats pourraient contribuer aux efforts menés pour développer des vaccins contre ces maladies débilitantes.
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