Une nouvelle étude financée par l’UE a montré que les personnes sujettes à la dépression n’avaient pas de sentiments de haine car la maladie affecte la partie du cerveau contrôlant les émotions.

Dans la revue Molecular Psychiatry, l’équipe de chercheurs de Chine et du Royaume-Uni explique que le cerveau des dépressifs se déconnecte du «circuit de la haine», ce qui signifie qu’il ne permet pas de générer une réaction de haine.
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