Des chercheurs financés par l’UE fabriqueront des fragments de rein bioartificiel à partir d’un nouveau polymère, ce qui permettrait de réduire le risque de rejet des transplantations par le corps humain.

Les biomatériaux peuvent être insérés dans le corps humain pour remplacer ou soutenir une fonction biologique permettant ainsi de prolonger la vie des patients. Leur utilisation est cependant encore limitée car ils ne parviennent pas à s’intégrer pleinement aux cellules et tissus vivants; un rejet est alors possible.
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