Les plantes optimisent leur croissance en se « souvenant » du stress hydrique (déficit en eau) qu’elles ont subi pour ajuster les mouvements d’eau dans les racines.

C’est ce que révèlent des chercheurs des équipes de François Tardieu de l’Inra et de François Chaumont à l’Université catholique de Louvain grâce à un dispositif de mesures précises de la croissance d’un grand nombre de plantes en conditions naturelles.
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