En Allemagne, le cancer du sein touche chaque année près de 57.000 femmes. Les progrès récents de la médecine permettent aujourd’hui de traiter ce cancer en évitant dans la plupart des cas l’ablation du sein touché.

Cependant, cette dernière ne peut être évitée pour environ 15.000 femmes par an, avec l’impact négatif qu’elle a sur leur amour-propre et leur dignité. Parmi ces patientes, beaucoup choisissent d’avoir recourt à la mammoplastie [1]. En général, les chirurgiens prélèvent de la peau et du tissu adipeux au niveau du ventre, des fesses ou du dos, qu’ils transplantent ensuite sur le sein. L’inconvénient de cette méthode est que le prélèvement entraîne de grosses cicatrices. Des chercheurs de l’Université de Munich, sous la direction du Dr Darius Dian [2], ont testé pour la première fois en Europe une nouvelle méthode moins invasive.
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