Les troubles psychiques, et notamment la dépression, influent sur les processus de transformation d’une des protéines de l’organisme humain -l’albumine- et l’étude de ces processus permet d’évaluer l’efficacité du traitement de ces affections, ont établi des chercheurs russes.
Des équipes de l’Institut de physique Lebedev de l’Académie des sciences russe (FIAN), de l’Institut de recherche de médecine physico-chimique et de l’Institut de recherche de psychiatrie de Moscou ont établi, après toute une série d’expériences, que les maladies psychiques influent sur la transformation qui s’opère lors du métabolisme des molécules de l’albumine.
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