Une nouvelle étude explore le rôle de la flore intestinale dans le développement de l’obésité chez les chiens.
La prévalence de l’obésité a triplé dans de nombreux pays de la région européenne de l’OMS depuis les années 1980 et le nombre des personnes affectées ne cesse d’augmenter à une vitesse alarmante.

L’obésité est déjà responsable d’entre 2 à 8 % des frais de soins de santé et entre 10 à 13 % des décès dans différentes parties de la région.
Néanmoins, l’obésité ne se limite pas seulement à l’homme; en effet, nos amis les chiens sont également menacés par cette maladie. En fait, deux-tiers des vétérinaires pensent que l’obésité animale est le plus gros problème de santé pour les animaux domestiques en Europe et une mort précoce est la conséquence la plus triste et grave de la maladie.
Une nouvelle étude a démontré que l’obésité humaine et canine ont des points communs. Comme l’explique le magazine Science, «les personnes obèses ont une flore intestinale moins diversifiée que les personnes plus minces, et cela est également valable pour les chiens».
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