Les travaux d’un groupe de chercheurs argentins, français et brésiliens, ont permis de démontrer que la doxycycline, peut, à faible dose, réduire la toxicité de l’alpha-sinucléine, protéine responsable, dans le cas de la maladie de Parkinson, de la propagation de la mort neuronale au sein du système nerveux central.

Il s’agit d’un nouvel usage pour la doxycycline, antibiotique ancien (breveté en 1957 et commercialisé à partir de 1967), du groupe des tétracyclines, communément utilisé pour le traitement des pneumonies et d’autres infections.
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