Selon un rapport publié dans la revue Nature Neuroscience, des chercheurs allemands et américains financés par l’UE estiment que les réseaux cérébraux pourraient éviter les embouteillages situés dans les jonctions les plus stimulées en communiquant à différentes fréquences.

Ces travaux ont été encouragés par le projet BRAINSYNC («Large scale interactions in brain networks and their breakdown in brain diseases»).
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