Dans une étude parue aujourd’hui dans Nature Communications, des chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université d’Ottawa annoncent qu’ils ont découvert un nouveau mécanisme de contrôle des mutations génétiques.

Ce mécanisme pourrait jouer des rôles dans l’évolution, la pharmacorésistance et la formation de tumeurs dans un grand nombre de cancers du sein et de l’ovaire.
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