Un groupe de chercheurs du RIKEN et de l’université du Michigan viennent d’apporter de précieuses informations concernant les interactions intracellulaires entre molécules.

En utilisant le K Computer, un des 5 ordinateurs les plus rapides au monde, capable d’effectuer des calculs très complexes, les chercheurs sont parvenus à modéliser l’intérieur d’une des plus petites bactéries connues à ce jour, Mycoplasma genitalium, ainsi que quelques 3000 milliards d’atomes présents dans la cellule bactérienne.
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