Des chercheurs de l’Université d’État de Campinas (Unicamp) ont développé des particules composées d’amidon de maïs, capables de stocker et de libérer de manière contrôlée des substances mortelles dans les larves de moustiques Aedes aegypti. Pour rappel, ce moustique est responsable de la transmission de maladies telles que la dengue, le zika, la fièvre jaune et le chikungunya.
Les particules se comportent exactement comme les œufs d’Aedes. Tant que l’environnement est sec, elles restent inertes et conservent l’agent actif protégé. À partir du moment où elles entrent en contact avec de l’eau, elles commencent à gonfler pour permettre la libération du larvicide composé d’huile essentielle de thym. Après trois jours, lorsque les œufs éclosent et que la phase larvaire commence, les particules libèrent des quantités mortelles de l’ingrédient actif dans l’eau.
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