A l’heure actuelle, les modèles animaux sont à la fois indispensables et insuffisants pour évaluer la toxicité et les effets de nouvelles thérapies sur le corps humain.

Une équipe de l’Université Hébraïque de Jérusalem, en collaboration avec l’institut Fraunhofer Allemagne et sous la tutelle du Pr Yaakov Nahmias, propose une nouvelle alternative aux modèles animaux : l’expérimentation sur des nano-organes humains, sur puce.
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