Un groupe de chercheurs de l’université de Lund a réussi à analyser le comportement des cellules gliales de façon ciblée. Cette découverte devrait permettre d’élucider certaines pathologies, telles la maladie de Parkinson ou la sclérose en plaque.

Les cellules gliales contribuent au bon fonctionnement des neurones. Elles assurent l’apport des nutriments nécessaires aux neurones, ainsi que leur protection. Elles produisent également la myéline (molécule d’isolation des fibres nerveuses), dont l’altération est une des causes de l’apparition de la sclérose en plaque. Contrairement aux neurones, les cellules gliales ont la capacité de se diviser par mitose.
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