La maladie d’Alzheimer fait toujours autant parler d’elle. Cette pathologie, qui constitue la forme la plus fréquente de démence dans les sociétés occidentales, se caractérise par une neurodégénérescence et des signes pathologiques désormais célèbres comme les plaques constituées du peptide bêta-amyloïde et la neurofibrille tau-positive.

Sur le plan clinique les patients présentent une dégénérescence de structures notamment impliquées dans les processus mnésiques. La progression de la pathologie a été décrite comme dépendant de variables génétiques mais aussi environnementales. Très récemment, une étude a aussi montré comment le pattern de méthylation de certains gènes, donc leur modification épigénétique, pouvaient être des marqueurs de la pathologie chez les patients et les modèles souris souffrant de la maladie d’Alzheimer.
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