Le développement de nouveaux médicaments est extrêmement coûteux et prend plusieurs années, notamment à cause des normes strictes et des longs délais pour conduire des tests in vivo, a fortiori sur des humains.

Les cellules iPS pourraient permettre de s’affranchir de certaines de ces contraintes : en cultivant des cellules iPS à partir de cellules prélevées sur des malades, on peut recréer des tissus malades et procéder à des tests dessus – quand bien même l’état des patients ou la réglementation ne permettraient pas de prélever des tissus entiers sur les patients.
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