Un projet de recherche transatlantique est parvenu à décoder le
génome du nématode Pristionchus pacificus. Les travaux, menés par
les scientifiques de l’Institut Max Planck pour la biologie du
développement en Allemagne en collaboration avec leurs homologues
américains de l’Institut national de recherche sur le génome humain
à Saint Louis, offrent au monde une vue de l’intérieur de
l’évolution du parasitisme; notamment en sensibilisant le public
aux interactions complexes entre l’hôte et le parasite. Leurs
résultats ont récemment été publiés dans la revue Nature
Genetics.
Dirigée par le professeur Ralf J. Sommer, un chercheur du campus
Max Planck à Tübingen, en Allemagne, l’équipe de recherche a
découvert que le génome des nématodes, des vers au corps non
segmenté capable de s’allonger, possède un nombre étendu de gènes
ayant des fonctions assez inattendues…
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