Une équipe de scientifiques dirigée par les chercheurs Michel Desjardins, professeur au Département de pathologie et biologie cellulaire de l’Université de Montréal, et Heidi McBride, de l’Institut et hôpital neurologiques de Montréal de l’Université McGill, a découvert que deux gènes associés à la maladie de Parkinson jouent un rôle clé dans la régulation du système immunitaire.

Il s’agirait d’une preuve directe que le Parkinson est une maladie auto-immune.
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